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Émission

Sforzando

Le contemporain, ça compte pas pour rien! (1ère partie)

Animé par Hugo | Hugo à la technique

Sforzando # 55 : Le contemporain, ça compte pas pour rien !

  • Théâtral et spectral

Emission du 26 mai 2019

En ce moment, le monde de la musique est secoué par une polémique -justifiée- au sujet de la suppression des émissions du soir sur France Musique. Le point commun de ces émissions ? Elles parlent de la création musicale contemporaine. Bien que leur audience soit en hausse, leur suppression est justifiée par les contraintes budgétaires du service public.

Mais qui en veut à la musique contemporaine ? Cette musique qualifiée d’élitiste ou de non-commerciale et surtout figée dans le temps aux yeux d’une grande partie du public.  En effet, lorsque vous faîtes des recherches sur la musique contemporaine, vous tombez la plupart du temps sur des noms comme Ligeti, Boulez, Stockhausen, compositeurs illustres, certes, mais qui ont malheureusement cessé toute activité de composition en raison de leur… mort. Cette musique, pourtant toujours bien vivante souffre donc surtout d’une image partiale et erronée. Aujourd’hui, Sforzando vous propose quelques portraits de compositeurs du 21ème siècle afin de mettre un pied -juste un pied- dans l’immense foisonnement créatif de la musique dite « contemporaine ».

Extraits de l’émission :

 I -Théâtral et spectral

  • Brian Ferneyhough, Quatuor à cordes n°3, second mouvement
  • Hugues Dufourt, Antiphysis
  • Guy Reibel, Rabelais ou la naissance du verbe, plaidoirie de Baisecul
  • Georges Aperghis, récitation n°11
  • Georges Aperghis, Machinations, extrait
  • Helmut Lachenmann, Zwei Gefühl, extrait
  • Hans Zender, Schubert's Winterreise, Wasserflut, Mut
  • Gérard Pesson, Cassation
  • Philippe Leroux, PPP
  • Poul Ruders Solar Trilogy, Corona
  • George Benjamin, Three inventions (extrait live)
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